Une sorte de nitescence langoureuse

J’ai souvent entendu dire qu’il ne fallait pas embêter une écrivaine ou, sinon, on se retrouvait dans ses livres. Il m’est arrivé, à moi aussi, de m’inspirer de mon entourage pour créer mes personnages (même si c’est plus facile de les encrypter lorqu’on écrit de la science-fiction).

Je ne sais pas à quel point j’ai emmerdé Sylvie Bérard, mais en tout cas, je me retrouve dans son dernier roman Une sorte de nitescence langoureuse.  Je n’ai pas dû être trop insupportable, car contrairement à l’image ci-contre, elle ne m’a pas tuée ni même trop écorchée au passage. Je dirais même que, au contraire, l’image qu’elle donne de moi est assez juste. Mais, bien sûr, je ne suis pas objective. Alors, pour la même raison, je ne vous ferai pas non plus de compte rendu de l’oeuvre. Je vous invite cependant à aller jeter un coup d’oeil à cette recension si vous souhaitez vous en faire une meilleure idée.

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